donna reduce da parto fisiologico con il suo neonato

Parto physiologique et accouchement dystocique : ce que c'est et comment prévenir le second

Introduction

Ceux qui voient au premier plan l'accouchement physiologique - aussi appelé eutocique - et l'accouchement dystocique est une dichotomie sur laquelle, au moins une fois, toutes les futures mamans se posent des questions.


Avant de commencer, je te laisse quelques infos utiles :

Qu'est-ce que l'accouchement physiologique ?

Comme souligné dans cette vidéo d'après la Docteure Maria Chiara Alvisi, quand on parle de l'accouchement physiologique, scientifiquement connu aussi sous le nom de accouchement eutocique, il s'agit d'un accouchement où la mère et son bébé sont en bonne santé, raison pour laquelle le personnel soignant qui assiste à l'accouchement n'intervient pas avec des manœuvres invasives.


Il s'agit, heureusement, du tableau qui caractérise la majorité des naissances.


Attention : cela ne signifie pas absence de contrôle. 


On n'intervient simplement pas avec des manœuvres invasives car il n'y a pas de conditions à risque.

femme qui vient de vivre un accouchement physiologique avec son nouveau-né

Accouchement dystocique : de quoi s'agit-il ?

L'accouchement dystocique n'est rien d'autre que la situation inverse de l'accouchement physiologique. 


Cela signifie que les professionnels qui assistent la femme en train d'accoucher ont identifié des problématiques cliniques spécifiques


Dans ces moments, la mère, le bébé ou les deux parties de la dyade présentent des altérations. 


Cela signifie que, de la part du personnel spécialisé, il est nécessaire de mettre en avant une attention supplémentaire.


Les choix qui sont faits, en conséquence, sont très différents de ceux qui sont impliqués dans un accouchement eutocique.

De l'accouchement physiologique à l'accouchement dystocique : les causes de la déviation

Il arrive, dans certains cas, qu'un accouchement commencé avec des particularités physiologiques devienne dystocique. Quelles sont les causes de ce changement ? Elles sont diverses. 


On peut parler, par exemple, de problématiques déjà connues au cours de la grossesse. 


Sous ce titre, il est possible d'inclure les malformations fœtales, ainsi que des dimensions du bébé inférieures aux standards de l'âge gestationnel.


Les anomalies quantitatives du liquide amniotique - qu'elles soient en excès ou en défaut - peuvent également entraîner le passage d'un accouchement physiologique à un accouchement dystocique.


Même la prise, par le fœtus, de positions comme la transversale ou l'oblique peut entraîner la déviation d'un accouchement physiologique vers un accouchement dystocique.


En ce qui concerne les problématiques liées à la santé de la mère, rappelons le diabète gestationnel et l'hypertension artérielle. 


Dans les deux cas, on peut être confronté au choix d'un accouchement dystocique. 


Une parenthèse importante concerne les criticités qui surviennent au cours du travail.


Fondamentales, pour les prévenir, sont l'assistance et le contrôle de la sage-femme aux différentes phases du travail.

Les conséquences de l'accouchement dystocique

L'accouchement non physiologique doit avoir lieu, par nécessité, en contexte hospitalier


Depuis longtemps déjà, tout ce qui tourne autour de l'accouchement physiologique a été transféré presque exclusivement en contexte hospitalier.


Néanmoins, tant le travail eutocique que l'accouchement avec cette particularité peuvent être gérés en contexte domestique ou en maison de naissance.


Différent, je le répète, est le cas de la dystocie, qui peut survenir, par exemple, lorsque le bébé est mal positionné.


Dans ces cas, la assistance médicale constante qui se concrétise dans une structure hospitalière est une garantie de sécurité très importante tant pour la mère que pour son enfant.


césarienne, conséquence du passage d'un accouchement physiologique à un accouchement dystocique

Comment prévenir l'accouchement non physiologique

À ce stade, toute future maman se demandera quelles sont les astuces pour prévenir l'accouchement dystocique et faciliter l'accouchement physiologique.


Comme toujours rappelé par la Docteure Alvisi dans la vidéo liée au début de l'article, pour obtenir ce résultat, il est essentiel de commencer à agir pendant la grossesse.


La première étape concerne la choix du professionnel qui va suivre (je ne me lasserai jamais de rappeler l'importance de chercher une bonne sage-femme dès qu'on découvre qu'on est enceinte).


Tout aussi crucial est le choix réfléchi des personnes à qui l'on permet d'assister à ce travail extraordinaire du corps qu'est le travail.


Un aspect auquel je tiens beaucoup concerne la conscience, de la part des femmes enceintes, de la nature de nombreuses altérations qui peuvent entraîner la déviation d'un accouchement eutocique à un accouchement dystocique.


Dans la plupart des naissances, les altérations mentionnées ci-dessus sont iatrogènes.


Ce terme englobe des lésions ou des dommages fonctionnels pouvant être attribués à des interventions médicales, thérapeutiques ou diagnostiques.


En termes simples, les altérations iatrogènes sont le résultat d'interventions non nécessaires qui compromettent l'équilibre parfait entre la mère et l'enfant.


C'est le cas, par exemple, des situations où on empêche la femme en travail de choisir librement sa position.


Il en va de même pour les circonstances où on ne permet pas à la future maman de se nourrir et de s'hydrater correctement.


Commencer à préparer le moment de la naissance déjà pendant la grossesse - suivre un bon cours prénatal même en ligne peut beaucoup aider - il est possible d'avoir plus de chances de vivre un accouchement physiologique.

femme avec son bébé après un accouchement physiologique
Retour au blog